La protection de l’environnement est devenue une responsabilité globale et transversale. Elle est globale parce qu’on doit envisager des solutions à des effets tels que le changement climatique, la contamination (terre, océans, air) qui, même s’ils ont lieu de façon locale, ils finissent pour concerner toute la planète, et alors nous devons les aborder à niveau global moyennant des actions coordonnées aux milieux plus locaux. Elle est aussi transversale, d’un point de vue social, parce que la protection de l’environnement a besoin de la participation de tous les groupes et niveaux sociaux, depuis les gouvernements centrales, régionales et des organismes internationaux de coopération jusqu’aux groupes d’entreprises de plusieurs genres (agricoles, technologiques, industriels, etc.) ainsi que, comme de raison, les citoyens individuels qui doivent prendre conscience de la valeur des apports tels que le recyclage, la consommation responsable de l’énergie ou l’utilisation de systèmes de transport écologiques.
Selon ses principes de responsabilité globale et transversale et dans le milieu des entreprises du secteur des TIC (Technologies de l’Information et des Communications), SATEC aborde une stratégie de développement de solutions de caractère local qui montent en grade et qui s’intègrent à des plus hauts niveaux jusqu’à fournir du support à des systèmes plus globaux. Par la suite on montre quelques exemples de cette stratégie.
Un de nos premiers apports a été le système de surveillance de la nature et de prévention des risques de l’environnement naturel pour la Réserve Nationale « Estación Biológica de Doñana ». Tandis que la tendance était le développement des systèmes globaux de communications, nous avons conçu et déployé un réseau convenable à cet environnement, tout en minimisant la pose de câbles. Nous avons utilisé des systèmes d’alimentation électrique bases sur des énergies renouvelables et nous avons même adapté des éléments physiques, tels que des antennes, pour sa majeure intégration au moyen naturel. Sur ce réseau de communication nous avons déployé à son tour un réseau de senseurs pour surveiller des aspects comme la faune, la flore, le terrain ou l’hydrographie, entre autres. Et finalement nous avons développé le système d’information qui n’offrait pas seulement des données mais de l’information enrichie à la communauté scientifique et à la propre gestion de la Réserve Nationale. Le résultat de ce projet, même s’il a était fait à niveau local, apporte une information très riche que la communauté scientifique transforme en connaissance globale. Alors cette structure de couches couvre dès le local jusqu’au global. Nous considérons ce système comme notre première référence de IoT, tandis que ce terme n’était pas encore utilisé dans le marché.
Technologie appliquée à l’environnement et à l’IoT
Une autre des tendances technologiques les plus remarquables des dernières années a été le développement des systèmes de Géo Business Intelligence (GeoBI), qui permettent d’enregistrer des données géolocalisées et puis les soumettre à une série d’analyses spatiales dont les résultats peuvent être précieux au moment de la prise de décisions politiques et stratégiques. D’ailleurs on calcule que, entre le 80% et le 90% de l’information gouvernementale a une composante spatiale parfaitement délimitée. Dans ce domaine SATEC travaille actuellement dans le projet « Observatório Teconológico das Espécies » (OTE), une expérience pilote de GeoBI promue par le Ministère d’Environnement de l’Angola. L’objectif du projet est de commencer le développement d’une Infrastructure de Données Spatiales (IDE) environnemental nationale, sur laquelle développer un ensemble de services en rapport avec la surveillance des parcs naturels, l’enregistrement et contrôle d’espèces de la faune et la flore, et la prévention et réponse devant des situations de menace à la biodiversité, tels que les incendies de forêts ou le braconnage.
Le projet pilote conçu aura lieu dans le « Parque Nacional de Quiçama », avec une extension de 9.600 Km2 et site près de la capital du pays, et il va combiner des techniques de télédétection par image satellitale avec la prise des données sur le champ et l’installation de stations de contrôle environnemental. Il va aussi inclure un traitement spécial pour les oiseaux avec l’incorporation d’un portail web de BirdWatching car l’Angola possède plusieurs espèces endémiques d’intérêt scientifique et touristique.
Avec ce projet, le Ministère de l’Environnement de l’Angola aura à sa disposition un outil fondamental tant pour le travail du habituel de ses techniciens que pour la gestion des politiques et stratégies gouvernementales, ce qui finira avec un précieux renforcement de la capacité institutionnelle du Ministère. En plus, on essaye aussi de mettre en évidence la richesse de la biodiversité du pays, en favorisant que les citoyens soient connaisseurs de son existence et de sa valeur -aussi bien culturelle et scientifique que socioéconomique- et ils puissent prendre conscience de l’importance de sauvegarder cette richesse.
Ce projet donne une continuité au travail développé par SATEC, tant sur le domaine de la gestion environnemental, commencé avec le projet préalablement décrit dans le « Parque Nacional de Doñana », que sur la mise en œuvre de projets de IDE, où SATEC a aussi accomplit des autres projets antérieures comme le développement des systèmes d’information corporatifs du Plan National de Géologie (PLANAGEO) qui disposent d’un IDE comme élément structurel fondamental pour l’enregistrement, caractérisation et analyse du potentiel de la richesse minière de l’Angola.
Dans le même esprit, SATEC travaille de façon continue sur le sondage, étude et application de technologies pour l’obtention, enregistrement, traitement et présentation d’information spatiale. On analyse les outils et solutions disponibles dans le marché et on ajoute celles qui s’adaptent mieux au propositions et mises en œuvre faites dans le différentes opportunités et projets, aussi bien en Espagne qu’en Afrique.
Alors il est évident le compromis de SATEC avec l’environnement et le développement durable avec l’application de la technologie pour contribuer à l’encouragement des stratégies gouvernementales dans plusieurs domaines tels que la gestion des ressources naturelles la protection de l’environnement, l’agriculture ou la santé, entre beaucoup d’autres.